sábado, 31 de diciembre de 2011

Hida a Egipto - Federico Cantú


La Fuite en Égypte et le Massacre des Innocents sont racontés dans un passage de l'Évangile selon saint Matthieu (Mt 2, 13-23) qui forme une unité rédactionnelle.
Le roi Hérode Ier, qui tenait le pouvoir en Palestine, ayant appris des mages venus d'Orient la naissance à Bethléem du roi des Juifs, envoya tuer tous les enfants de moins de deux ans qui se trouvaient dans la ville. Joseph, prévenu par un songe, s'enfuit avec l'enfant Jésus et sa mère en Égypte où ils resteront jusqu'à la mort d'Hérode. Cependant, comme le fils d'Hérode, Archélaüs, régnait sur la Judée à la suite de son père, Joseph s'installa avec sa famille à Nazareth en Galilée.
Cette histoire montre qu'avec la naissance de Jésus se réalisent les prophéties deMichée (Mic 5,1) et Jérémie (Jr 31, 15), et explique qu'il a grandi à Nazareth, ville insignifiante (cf. Isaïe 49, 7). Elle n'est cependant pas forcément dépourvue de tout fondement historique compte tenu de ce que nous savons de la dureté d'Hérode et de l'Égypte comme terre d'asile traditionnelle des réfugiés palestiniens.









jueves, 15 de diciembre de 2011

l’Annonciation


Federico Cantú
buril



Les Évangiles de Matthieu et Luc rapportent l’Annonciation, c’est-à-dire l’annonce par l’ange Gabriel à Marie puis à Joseph à qui elle était fiancée, de la conception virginale de Jésus, le récit de Luc donnant plus de place à Marie, alors que c’est l’inverse dans celui de Matthieu1.
Les textes évoquent ensuite la Présentation au Temple pour accomplir le rite de rachat du premier-néSyméon prophétise qu'elle connaîtra la douleur (Lc 2, 21-35). Plus tard se produit l’épisode de la disparition de Jésus à l’âge de douze ans (Lc 2, 41-51), lors de la montée annuelle au Temple de Jérusalem : alors que ses parents repartaient pour Nazareth, l'enfant était resté dans le Temple pour discuter avec les docteurs de la loi.
Marie apparaît à nouveau quand Jésus assiste aux Noces de Cana (Jn 2, 1-11), puis une fois où elle était à sa recherche alors qu’il enseignait (Mc 3, 31-35), enfin au moment de la crucifixion. Son fils la confie avant de mourir à son disciple préféré Jean.
« Jésus, voyant sa mère, et auprès d’elle le disciple qu’il aimait, dit à sa mère : Femme, voilà ton fils. Puis il dit au disciple : Voilà ta mère. Et, dès ce moment, le disciple la prit chez lui. »


miércoles, 7 de diciembre de 2011

Una Feliz Navidad Y Prometedor 2012







Merry Chrismas and Happy New Year 2012
Feliz Navidad Y Prometedor  2012
Jouyeux Noel et Bonne Année  2012



Federico Cantú Garza 1907-1989




Las escenas del nacimiento de Jesús fueron cambiando a través de los siglos y conforme a las costumbres y modas impuestas por los propios artistas. Durante la Edad Media lo más común es la representación de María tendida en su lecho con el niño a su lado, envuelto en refajos. En el siglo XIII Jesús está metido en el pesebre y hay un intercambio de miradas entre la madre y el hijo. A finales de la Baja Edad Media se empieza a representar a María con su hijo en brazos. Durante los siglos XIV y XV la escena se hace más cálida e íntima pues se representa a María alimentando al niño.






Los artistas flamencos van añadiendo detalles más o menos pintorescos, como la participación de José a la hora del baño del recién nacido.1 A partir del siglo XVI entran en escena los pastores adorando al Niño. Los pastores ofrecen animales de granja, frutos y otros obsequios. A veces en una misma obra se añade al tema central otros que pueden estar relacionados, como la anunciación del ángel a los pastores, el coro de ángeles, etc. El siguiente paso se da en los abundantes retablos monumentales del siglo XVII en que todo el retablo es una descripción de la Natividad y todo lo relacionado con ella. Aparece además el símbolo del cordero.